Automne 4
Extrait des " Histoires et Poèmes de Mag "
Plus de doute,
le froid, on le redoute. Le paysage s'est habillé d'un blanc immaculé. On a les mains sèches, le nez mouillé. On se lève à la fraîche, il en est de même au coucher. Les arbres sont complètement nus, ainsi que les rues. On est tous camouflés, sous nos gilets, pour nous réchauffer. |
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